Des infrastructures solides et correctement entretenues. C’est ce que demande les leaders d’opinion à l’Extrême Nord après l’effondrement du Pont PALAR.
L’ouvrage de 40 ans s’est affaissé lundi affectant gravement le trafic routier entre les villes de Maroua, Kousseri et Mora mais aussi le Tchad Voisin.
Un effondrement après de fortes pluies suivies d’inondations dans la région. Les autorités multiplient les réunions de crise.
Le gouverneur Midjiyawa BAKARY a annoncé une mission interministérielle sur le site de la catastrophe